Plus de 22 000 visiteurs uniques, une couverture mondiale, une vidéo virale dépassant le million de vues. Et surtout, des centaines de Calédoniens qui s’abonnent, partagent, et soutiennent. En huit jours à peine, La Dépêche de Nouméa est entrée dans le paysage. Et a tout de suite dérangé.
Un succès qui dépasse les frontières
Difficile à croire, et pourtant : notre carte de lecture couvre déjà plus de 70 pays. De Nouméa à Paris, de Sydney à Bruxelles, de Wallis à Montréal. Avec plus de 17 500 visiteurs uniques depuis la Nouvelle-Calédonie et près de 2 800 depuis la métropole, notre média s’impose comme un nouveau rendez-vous d’information franc et libre, attendu par beaucoup, redouté par certains.
Une vidéo virale : 1 million de vues… en 48 heures
Le 7 juin, notre publication sur la condamnation d’un homme ayant paradé dans une voiture de police volée a tout simplement explosé : 5 300 réactions, 1 500 commentaires, plus d’un million de vues en 2 jours. Plus de 4 400 followers sur notre page Facebook. Des chiffres qui ne trompent pas. L’indignation est là. Mais aussi l’attente. Celle d’un média qui ose dire ce que les autres camouflent.
Une ligne libre face à un système verrouillé
En Nouvelle-Calédonie, le paysage médiatique est cadenassé. Quelques titres, souvent subventionnés, imposent chaque jour une ligne militante, gauchisante, comme un prêche récité à des fidèles. Et gare à celui qui ose sortir du chœur : il sera vite désigné comme populiste, extrémiste ou “dangereux”.
La Dépêche de Nouméa n’entre pas dans ce jeu.
Nous ne rendons de comptes qu’à nos lecteurs.
Merci.
Merci à tous ceux qui nous lisent, partagent, commentent, critiquent parfois – mais nous suivent.
Créer un média libre, en pleine crise institutionnelle et économique, c’est un défi. Mais vous le rendez possible. Chaque clic, chaque partage, chaque abonnement à notre newsletter (déjà plusieurs centaines !) est un acte de résistance douce.
Nous remercions également notre partenaire, Le Journal du Dimanche (Le JDD), sans qui cette aventure n’aurait pas été possible.
Ce n’est que le début. En Calédonie comme en métropole, vous avez le droit à une information directe, sans filtre, sans ligne imposée.