Dans un contexte de tensions institutionnelles et de fracture politique, une jeune voix tranche dans le paysage parisien : Sarah Knafo. La députée européenne de Reconquête !, figure montante de la droite nationale, défend une ligne claire, assumée, et sans ambiguïté : la Nouvelle-Calédonie, c’est la France. Point.
Un parcours d’élite, une détermination sans détour
Ancienne élève de Sciences Po et de l’ENA, inspectrice des finances à 27 ans, Sarah Knafo n’est pas une militante de salon. Elle incarne une nouvelle génération : technique, offensive, enracinée. Directrice de campagne d’Éric Zemmour en 2022, aujourd’hui députée européenne, elle porte une ligne forte, sans concessions sur la souveraineté.
Et sur la Nouvelle-Calédonie, elle ne tourne pas autour du pot :
« La Nouvelle-Calédonie doit rester française. Définitivement. »
Non aux ambiguïtés, non au quatrième référendum
Alors que certains à droite – y compris Marine Le Pen – évoquent l’idée d’un nouveau vote « dans 40 ans », Sarah Knafo dit non. Trois référendums ont déjà eu lieu. Trois fois, les Calédoniens ont choisi la France.
« Laisser encore la porte ouverte, c’est ne tirer aucune leçon du passé. »
Elle accuse les partisans du flou de prolonger artificiellement un climat d’instabilité, nuisible aux familles, aux entreprises, aux investisseurs.
Autorité, sécurité, développement : la priorité au réel
Knafo le martèle : on ne réconciliera pas un territoire en le livrant à l’indécision ou à la complaisance. Elle réclame du concret :
- Une présence sécuritaire renforcée.
- La fin des ambiguïtés institutionnelles.
- Le développement du potentiel économique calédonien, notamment autour du nickel et des énergies.
Elle dénonce aussi l’attentisme de l’exécutif, et les reculades de certains responsables politiques parisiens, plus prompts à composer qu’à gouverner.
Une ligne claire face aux demi-mesures
Sarah Knafo ne vient pas en terrain conquis, mais elle ne vient pas s’excuser non plus. Elle parle à la majorité silencieuse, à ceux qui en ont assez de l’ambiguïté, des calculs politiciens, et du flou organisé autour de l’avenir du territoire.
« Ce territoire mérite mieux qu’un éternel provisoire. »
Une stratégie assumée : bâtir, pas entretenir la fracture
Pas de clientélisme. Pas de discours à double vitesse. Pour Knafo, la République n’a pas à s’excuser d’exister. La Nouvelle-Calédonie, dit-elle, doit redevenir un atout stratégique, économique et militaire pour la France dans le Pacifique.
Elle propose :
- Une base navale renforcée.
- Une économie relancée.
- Une voix politique cohérente.
Pas de recul. Pas d’équivoque. Pas de temps à perdre.
Sarah Knafo dit ce que beaucoup pensent tout bas. Elle incarne une droite qui assume. Et dans le paysage politique Français, c’est peut-être ce qu’il manque.