La délinquance monte, les habitants s’inquiètent, et la mairie appelle à l’union sacrée.
Gendarmes, coutumiers, élus, tout le monde était là.
Objectif : faire bloc, même sans miracle.
Parce que non, on ne peut pas coller un gendarme derrière chaque môme.
Pendant ce temps, le FLNKS continue de se déchirer.
L’Union calédonienne dit non à l’accord de Bougival.
Pas de souveraineté, pas d’indépendance, donc pas de soutien.
Chez les plus jeunes, la colère gronde.
Et certains redoutent que la haine ne prenne le relais.
En face, l’UNI tient bon.
Ils parlent d’un compromis, d’une étape vers l’émancipation.
Mais au fond, chacun lit l’accord avec ses lunettes.
Et les fractures d’hier n’ont toujours pas été recousues.
Un congrès du FLNKS est prévu en août. Bonne chance.
Côté football, c’est le chaos.
Le président suspendu dénonce une manœuvre illégale.
Ses opposants parlent d’un vote de défiance.
Entre élections repoussées et dettes non réglées,
la Fédération calédonienne cherche un arbitre. Peut-être la FIFA ?
Heureusement, il reste les enfants.
À la médiathèque, on apprend à décrypter l’info, à ne pas gober les fake news,
et à différencier un magazine de cuisine d’un journal d’actualité.
Un peu de bon sens dans un monde trop bruyant.
Bref. La Calédonie cherche la vérité… pendant que d’autres jouent les prolongations.