Sébastien Lecornu prend le double des clés.
Je zappe l’analyse à rallonge. La question est simple : le calendrier Bougival tient, ou pas ? On nous promet continuité et stabilité. Traduction : on garde la ligne, on évite la dissolution, on pousse les textes. On vérifie dès cette semaine si les promesses d’hier deviennent les décrets de demain.
Pendant que Paris recolle les morceaux, ici on juge un meurtre aux Assises. Alcool, voisinage, drame. On rappelle que l’ivresse n’excuse rien, et que la justice, elle, ne boit pas.
Province Sud : Tuband se modernise. Nouvelles pergolas, CDI repensé, élèves impliqués. Quand on met des moyens au bon endroit, l’école respire.
Classes Défense. Des collégiens qui découvrent l’uniforme sans storytelling. Concret, utile, cadré.
Foot : après l’Ukraine, les Bleus vont chercher l’Islande. Touches longues, gros duels, mais objectif simple : 6 points en deux matchs, et on n’en parle plus.
Rugby : Yolaine Yengo repasse dire bonjour avant de filer au Japon, version XV. Le talent voyage, l’attache reste ici.
Au milieu de tout ça, une certitude : la Calédonie n’a pas le temps d’attendre les humeurs parisiennes. Bougival doit avancer, chiffres sur la table, texte par texte, jour après jour.
Bref. On a changé de Premier ministre, pas de problèmes à régler.
