Un week-end marqué par la délinquance et par la mobilisation totale des forces de l’ordre.
La sécurité des Calédoniens repose sur la vigilance et la fermeté de l’État.
Une police nationale sur tous les fronts
De vendredi 12 à dimanche 14 septembre, la Direction Territoriale de la Police Nationale (DTPN 988) a vécu un week-end d’une intensité rare. Tentatives de vol à l’arraché, conduites en état alcoolique, effractions, refus d’obtempérer : la liste est longue. Au total, ce sont 55 procédures judiciaires qui ont été traitées, avec 33 mis en cause placés en garde à vue. Par ailleurs, 70 personnes en état d’ivresse publique manifeste ont été conduites en cellule de dégrisement.
Ce travail de terrain, mené sans relâche, rappelle une évidence : sans une police nationale forte, la société sombrerait vite dans l’insécurité. Les forces de l’ordre incarnent, par leur présence et leur action, l’autorité indispensable au vivre-ensemble.
Une gendarmerie mobilisée face aux dangers de la route
La gendarmerie n’a pas été en reste. Dans la nuit du samedi 13 septembre, un drame a été évité de justesse. Un automobiliste alcoolisé, sous l’emprise de stupéfiants a violemment percuté un dispositif de protection installé sur le pont de la Ti (RP1). Sous la violence du choc, l’ouvrage endommagé a partiellement obstrué la circulation, créant un danger réel pour les usagers.
Dès le dimanche matin, les gendarmes, en lien avec la municipalité, ont sécurisé les lieux et mis en place une circulation alternée. Grâce à cette réactivité, la menace a été écartée et aucune victime n’a été à déplorer. Le conducteur, examiné par un médecin, fait l’objet de poursuites judiciaires pour les faits reprochés. Là encore, l’action rapide des militaires démontre que la sécurité est d’abord affaire d’autorité et de responsabilité.
Une mobilisation pour la tranquillité publique et la vie familiale
Ces interventions s’inscrivent dans un contexte de vigilance accrue : la même semaine, l’ensemble des forces de sécurité de l’État était également mobilisé pour assurer le bon déroulement du 36e carnaval de Nouméa, un événement majeur qui attire des milliers de familles. Police nationale, gendarmerie et polices municipales ont travaillé main dans la main pour garantir un cadre serein.
L’exemple est clair : quand l’État assume son rôle régalien, la liberté des familles est préservée. La sécurité n’est pas un détail, mais le premier des droits. Et face à la montée de la délinquance, la réponse doit être ferme, immédiate, sans complaisance.
Ce week-end de septembre l’a confirmé : la sécurité des Calédoniens ne connaît pas de pause. Vols, alcool, stupéfiants, comportements dangereux sur la route : le danger est constant. Mais la mobilisation totale des forces de l’ordre prouve que l’État est présent et qu’il entend défendre l’ordre public.
En protégeant la population, en rétablissant la tranquillité, police et gendarmerie rappellent que sans autorité, il n’y a pas de liberté. La Nouvelle-Calédonie, ancrée dans la République, doit pouvoir compter sur cette fermeté. Car céder à la complaisance, c’est ouvrir la porte au chaos.