Un souffle nouveau sur le Proche-Orient : un président américain qui ose parler clair et imposer la paix par la fermeté.
Un jour historique à la Maison-Blanche
Donald Trump n’a pas tremblé. Depuis la Maison-Blanche, le président américain a annoncé lundi être arrivé « très, très près » d’un accord de paix à Gaza. À ses côtés, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a salué une étape décisive. Les deux hommes ont affiché une unité sans faille pour mettre fin à la guerre qui ensanglante la région.
Le président républicain, a présenté son plan en vingt points pour la paix. Son objectif est clair : désarmer le Hamas, libérer les otages israéliens et instaurer une gouvernance palestinienne neutre, sous supervision internationale.
Nous vivons un jour historique. Cet accord mettra fin à la guerre et ouvrira un nouveau chapitre de paix et de sécurité pour la région, a lancé Donald Trump.
Netanyahou a confirmé le soutien d’Israël :
Aujourd’hui, nous prenons les mesures essentielles pour mettre fin à la guerre et poser les bases de la paix, a-t-il déclaré, rappelant que la sécurité de son peuple restait non négociable.
Le plan américain : désarmement et comité de gouvernance
Le document dévoilé à Washington est sans ambiguïté : le Hamas n’aura « aucun rôle » dans la gouvernance de Gaza. Ses infrastructures militaires, y compris les tunnels, devront être détruites. Le plan prévoit, en parallèle, un retrait progressif des troupes israéliennes « jusqu’à la ligne convenue », tout en maintenant un périmètre de sécurité.
Dans les soixante-douze heures suivant l’adoption publique de l’accord, tous les otages israéliens devront être libérés. En échange, Israël relâchera près de 2 000 prisonniers palestiniens. L’administration Trump assure qu’aucun habitant ne sera forcé de quitter Gaza, promettant « l’opportunité de construire un avenir meilleur ».
La gouvernance du territoire sera confiée à un comité palestinien technocratique et apolitique, placé sous la supervision directe de Donald Trump et de partenaires internationaux, parmi lesquels l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair. Une décision saluée par de nombreux observateurs, qui y voient une alternative crédible aux échecs passés.
Réactions et pression sur le Hamas
Du côté israélien, le soutien est massif. Le Forum des familles d’otages a salué
un accord historique qui permettra au peuple de guérir et de tourner la page de la guerre.
Pour Donald Trump, la balle est désormais dans le camp du Hamas :
Si le Hamas rejette ce plan, Israël aura mon soutien total pour mettre fin définitivement à cette menace, a-t-il averti, reprenant une ligne de fermeté sans équivoque.
Netanyahou a abondé :
Si le Hamas refuse, Israël terminera le travail.
Une déclaration qui résonne comme un avertissement clair : la paix est à portée de main, mais elle ne se fera pas au prix de la sécurité d’Israël.
En Europe, le président Emmanuel Macron a salué « l’engagement de Donald Trump », tout en appelant à la responsabilité de toutes les parties. Un message de soutien discret, mais révélateur du poids retrouvé de l’Amérique sur le dossier.
L’avenir de Gaza se joue donc dans les prochains jours. Donald Trump et Benyamin Netanyahou ont ouvert une voie nouvelle, ferme et pragmatique, qui pourrait enfin ramener la paix dans une région déchirée depuis trop longtemps.