L’Iran passe à l’acte : tirs de missiles confirmés par Tsahal
Dans la soirée du 13 juin, l’armée israélienne a confirmé des tirs de missiles en provenance directe d’Iran. Quelques minutes plus tard, des sirènes d’alerte ont retenti dans la capitale Jérusalem, appelant la population à se réfugier dans les abris. Ce développement marque un tournant dans l’escalade régionale, amorcée après les multiples frappes israéliennes ayant visé des infrastructures sensibles, notamment à Ispahan.
Selon Tsahal, le danger est réel et immédiat. Le porte-parole de l’armée, interrompu en direct par une attaque en cours, a averti : « Nous sommes prêts à intercepter une vague offensive multiple. » Dans la foulée, les autorités israéliennes ont déployé des réservistes et renforcé la couverture du Dôme de fer.
L’Iran prévient : « Les portes de l’enfer s’ouvrent »
Le nouveau chef des Gardiens de la Révolution iranienne n’a pas mâché ses mots : Israël devra désormais faire face à des représailles sévères. Tandis que l’ONU appelle au calme, Téhéran accuse Tel-Aviv de « bellicisme », et la diplomatie iranienne exige une réaction immédiate de la communauté internationale. Une forte explosion a été entendue à Ispahan, et des drones israéliens auraient été interceptés dans le ciel iranien.
De son côté, le président Pezeshkian affirme ne pas chercher l’arme atomique, tout en dénonçant le « silence complice » de l’Occident. L’Iran semble vouloir marquer un coup d’arrêt symbolique et stratégique après la mort de hauts gradés iraniens ciblés par Israël.
Réactions mondiales : Macron, Poutine, ONU… tout le monde s’en mêle
Emmanuel Macron a haussé le ton : la France soutiendra Israël si elle est en capacité de le faire, tout en appelant à la négociation sur le nucléaire iranien. Il affirme que l’Iran porte une lourde responsabilité dans l’instabilité régionale, tout en rappelant que la France reste attachée à la reconnaissance d’un État palestinien.
Pendant ce temps, Vladimir Poutine se propose comme médiateur, une initiative accueillie avec méfiance à Tel-Aviv. Une réunion d’urgence du Conseil de sécurité est annoncée à l’ONU, tandis que la défense anti-aérienne iranienne reste en alerte maximale, y compris à Téhéran et Natanz.