Macron a parlé. Enfin.
Il invite tout le monde à Paris, mi-juin.
Objectif : mettre de l’ordre après le conclave de Deva qui a fini en eau de boudin.
Du coup, tout le monde réagit. Sonia Backès dit « ok« , mais elle veut des détails.
Virginie Ruffenach dit « enfin une bonne idée ».
François-Xavier Bellamy veut que l’État parle clair.
Marine Le Pen débarque aussi. Elle dit que l’obsession institutionnelle, c’est trop.
Elle veut de l’économie, du rééquilibrage et un référendum… dans 40 ans.
Bref. Tout le monde a un plan. Mais personne n’est d’accord.
À côté de ça, le gouvernement local tente de sauver les meubles.
Mesures pour l’emploi, baisse des charges patronales, soutien aux conjoints qui veulent bosser.
Et 629 millions injectés pour faire baisser le prix des nouilles et du savon.
Bref. On essaie d’acheter un peu de souffle.
Pendant ce temps, le Congrès valide un moratoire de 50 ans sur les fonds marins.
Les loyalistes trouvent ça trop long. Ils voulaient 15 ans max.
Ils vont peut-être saisir le Conseil constitutionnel.
Bref. Le fond du problème, c’est aussi le fond des mers.
Au Mont-Dore, premier conseil municipal avec Élizabeth aux commandes.
Nouveaux adjoints, nouvelles commissions.
La démocratie locale, version mise à jour.
Côté recensement ?
C’est terminé.
On saura bientôt combien on est à chercher un avenir ici.
Côté social ?
La province Sud relance un appel à projets pour lutter contre la précarité menstruelle.
Pendant ce temps, le RSMA forme 48 jeunes à Koumac.
Et les pompiers recrutent. La saison des feux approche.
Et puis il y a eu du sport.
Nickolas N’Godrela jouera la Coupe Davis. À 52 ans.
Son père l’avait fait. Maintenant, c’est à son tour.
Fierté. Histoire. Transmission.
Bref. C’était le mercredi 28 mai.
Un jour où Paris s’invite dans nos débats,
où les mesures tentent d’amortir les chocs,
et où même à 52 ans, on peut encore marquer des points.