Ducos a brûlé.
Les docks de Biscochoc ont cramé, les pompiers ont fait ce qu’ils ont pu.
Des huiles, des machines, un bâtiment effondré : le combo parfait.
Ils ont passé la nuit à arroser sans pouvoir rentrer.
Et ils continuent. Par l’extérieur.
Parce qu’il reste des points chauds.
Beaucoup.
Donc, le gouvernement recommande de… ne pas respirer.
Sauf si c’est vraiment nécessaire.
À Païta, cinq mineurs ont cambriolé une maison.
Ils se sont fait choper grâce à un témoin.
Tribunal pour enfants prévu le 30 juillet.
En attendant : punition. Restez chez vous le soir.
À Deva, un gars a joué au chasseur illégal.
Il a gagné six mois ferme, une amende bien salée
et un permis de chasse supprimé pour 5 ans.
Game over.
Le général Matteo a parlé.
Il quitte le territoire. Mais il part pas sans discours.
Il dit qu’il y a eu un avant et un après 13 mai.
Il dit que la gendarmerie a tenu bon.
Il dit qu’on a évité la guerre civile.
Il parle aussi de Saint-Louis.
Et d’une jeunesse perdue dans la violence.
Il parle de discernement, de fermeté, d’honneur.
Il part à Paris. Il laisse un verrou derrière lui.
Fête de la Musique demain.
Des scènes partout.
Des violons à Nouméa, des concerts à Dumbéa, Poya, Pouembout.
À Yaté aussi, mais version terroir.
Le Betico part en carénage.
Du 25 juin au 10 juillet, c’est nage ou stop.
Côté sport :
Groupama Race touche à sa fin.
Tous les bateaux sont rentrés. Sauf un.
Boudicca rame encore.
Mention spéciale au catamaran retourné mardi.
Le mât est cassé. La balise aussi.
Mais l’équipage va bien. L’épave, moins.
Week-end chargé :
Drift à Tomo, pelote basque à Nouméa, tir à l’arc à Dumbéa,
hippisme à Boulouparis, et golf à Ouenghi.
À l’international, le PSG a perdu.
Encore.
Bref. C’était le 20 juin. On respire… quand on peut.