Shy’m, jurée de Drag Race France All Stars 2025, fait polémique avec un look androgyne et une phrase choc :
J’ai toujours rêvé d’être un garçon.
Diffusée le 31 juillet sur France 2, cette sortie ravive les débats sur l’identité de genre, certains y voyant une provocation woke plutôt qu’une démarche artistique.
Un look qui divise
Lors de l’épisode du 31 juillet 2025 de Drag Race France All Stars sur Shy’m (Tamara Marthe de son vrai nom) a dévoilé un style androgyne : cheveux courts, veste oversize, kilt écossais. En légende d’une photo Instagram, elle déclare :
J’ai toujours rêvé d’être un garçon… Se sentir libre. Libre d’être soi.
Ce choix, présenté comme une exploration identitaire, a suscité des réactions mitigées. Sur X, des internautes dénoncent une “posture woke” visant à attirer l’attention, tandis que d’autres saluent un geste audacieux.
Une provocation calculée ?
Critiques anti-woke pointent un opportunisme : Shy’m, en adoptant l’esthétique et le discours de Drag Race, surferait sur les tendances progressistes pour relancer sa carrière.
C’est du marketing, pas de l’art !
Commente un utilisateur sur X. Le programme, connu pour promouvoir l’inclusion, est accusé par certains de pousser des agendas idéologiques. En 2025, 48 % des Français rejettent les discours sur le genre fluide, selon un sondage IFOP, reflétant un clivage culturel.
Une artiste en quête de buzz ?
Révélaée en 2005 avec Histoire de luv’, Shy’m a multiplié les réinventions : victoire à Danse avec les stars (2011), rôles dans Cat’s Eyes sur TF1, et jurée dans Drag Race France. En pause discographique depuis Agapé (2019), elle prépare un retour en 2026. Pour les détracteurs, ce “coming-out” androgyne ressemble à une stratégie pour rester sous les projecteurs, dans une époque où 60 % des Français se disent lassés des débats identitaires.
Un débat qui reflète l’époque
La sortie de Shy’m alimente les tensions entre conservateurs et progressistes. Les premiers dénoncent une dérive idéologique imposée par les médias, tandis que les seconds y voient une célébration de la liberté individuelle. Sur X, un commentaire résume
Elle fait ce qu’elle veut, mais pourquoi en faire un spectacle ?
La polémique illustre un fossé culturel, où l’art et la provocation se mêlent dans un climat de méfiance.