Alcide Ponga a parlé d’un compromis : personne n’a eu 100 %, mais c’est la seule façon d’avancer.
Il l’a répété : Bougival, c’est pour rester français. Et sans l’État, pas de budget, pas de réforme, pas d’avenir.
L’UC, fidèle à elle-même, continue de bouder.
Pendant ce temps, Manuel Valls a écrit aux signataires : comité de rédaction en août, vote des Calédoniens en février. Le calendrier avance, que l’UC le veuille ou pas.
À Dumbéa, on a inauguré un nouvel hôtel de police flambant neuf.
44 agents déjà en poste, bientôt 90, tout le monde sous le même toit.
Un message clair : la République est là, elle protège, et elle s’installe pour de bon.
À Pouembout, deux jeunes attendent leur procès pour l’incendie de l’usine plastique.
Casier vierge, contrôle judiciaire strict, interdiction de se voir et de retourner sur les lieux. Verdict prévu le 19 septembre.
Pendant que certains brûlent, d’autres construisent.
20 lycéens du lycée Lapérouse ont remporté un concours national sur la Constitution.
Ils veulent aller chercher leur prix à Paris le 24 septembre.
Le gouvernement a débloqué 2 millions de francs, mais il en manque encore 3 pour financer le voyage.
L’UFC Que Choisir alerte : nos ananas sont beaux dehors, mais pourris dedans.
Les producteurs le savent depuis dix ans. Le coupable ? Des acariens, aggravés par le climat.
Résultat : on paie cher un fruit dont on jette la moitié. Et personne n’a encore trouvé de vraie solution.
Côté numérique, Christopher Gygès veut faire de la Calédonie un hub de données et de cybersécurité.
Il a visité les infrastructures de Data Service Pacific, qui héberge déjà plus de 500 sites locaux.
Et le week-end s’annonce chargé : fête du nautisme à Koumac, salon des études supérieures à Nouville, grand vide-grenier à Nouméa.
En sport, rallye de Finlande, Formule 1 en Hongrie, Maxime Grousset en demi-finale à Singapour, et les huitièmes de finale de la Coupe de Calédonie.
Bref. On signe, on inaugure, on gagne… mais on continue de jeter la moitié de nos ananas.