Pas un petit non discret. Un non sec, unanime, qui jette tout Bougival aux oubliettes.
Christian Tein veut parler uniquement de “pleine souveraineté” avec “le colonisateur”.
Valls dit qu’il “regretterait” ce choix. En clair : chacun campe sur ses positions.
Au Médipôle, reportage sous tension : quatre médecins, plus de la moitié des infirmiers manquants.
Les urgences ne prenaient que les cas graves et les femmes enceintes.
Les autres ? Priés de patienter.
Des soignants au bord de l’épuisement, avec zéro droit à l’erreur.
À Bourail, j’ai vu le maire expliquer que la foire aurait bien lieu.
Les coutumiers rangent leur colère pour trois jours, mais la blessure est toujours là.
Le vivre ensemble ? “On n’a pas le choix”, dit-il.
En mer, images d’hélico : quatre bateaux pour Ouvéa, deux en panne.
Neuf passagers récupérés par Puma, les autres remorqués.
Et puis la Coupe Clark : six ans de travail pour l’écurie de Robert Christian, enfin récompensée.
Le propriétaire avait les larmes aux yeux.
Le Secours Catholique aussi est passé à l’écran.
Bénévoles devant les églises, mains tendues, et une hausse de 200 % des demandes d’aide en un an.
Moins de dons, mais plus de monde qui frappe à la porte.
Et en Polynésie, gros plan sur la viande des Marquises.
Nouvelle règle : les carcasses doivent arriver entières.
Les restaurateurs râlent, les chasseurs doivent suivre une formation.
Bref. À la télé, ça avait l’air sous contrôle. Dans la vraie vie, ça tangue toujours.