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Jordan Bardella se confie comme jamais au JDNews

La Dépêche par La Dépêche
27 novembre 2025
dans Au delà du récif
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13 minutes

ENTRETIEN. Dans un tête-à-tête inédit avec le JDNews, Jordan Bardella se dépouille du costume politique. L’auteur de « Ce que veulent les Français » (Fayard) évoque son enfance modeste, sa solitude comme refuge et cette angoisse tenace qui le hante : ne jamais être à la hauteur des Français.

Propos recueillis par Jules Torres 26/11/2025 
Jordan Bardella.
Auprès de ses militants ou de Marine Le Pen, Jordan Bardella parvient à convaincre. SIPA / © Thomas Hubert

Le JDNews. Si quelqu’un découvrait votre parcours à travers vos deux livres, Ce que je cherche puis Ce que veulent les Français, qu’est-ce qu’il apprendrait de vous que vous n’avez encore jamais confié dans une interview ?

Jordan Bardella. Écrire appartient à la grande tradition française. C’est sans aucun doute le moyen le plus intime de s’adresser au cœur des Français, de partager avec eux des confidences, des anecdotes et des sentiments. Dans mon premier livre, plus autobiographique, j’ai voulu mieux me faire connaître, parler de mon parcours et de mes origines modestes, de celui de ma famille italienne, « venue d’ailleurs » et « devenue d’ici ». On dit souvent que se livrer est une étape nécessaire dans le parcours politique.

À lire aussiJordan Bardella, président du RN : «J’ai voulu écouter les Français que la politique a oubliés»

Quant à ce nouveau livre, Ce que veulent les Français, il est le cri du cœur d’un peuple qui refuse de mourir, le journal intime d’une France oubliée, méprisée, dénigrée, que l’on cherche à effacer. J’appartiens à une génération de dirigeants politiques à qui les Français parlent encore, directement. Écouter et tendre l’oreille aux humbles et aux sans-voix, à ceux qui permettent à la France d’être la France, était à mes yeux un devoir.

Dans Ce que veulent les Français, vous dressez une galerie de visages et de vies. Lequel de ces portraits vous a le plus bouleversé ?

Ce livre est d’abord le recueil des confidences que me livrent les Français chaque jour. Avant de prendre la plume, je me suis posé une question pourtant banale : qui écoute encore les Français aujourd’hui ? Pour comprendre la France dans ce qu’elle a de plus intime, je crois qu’il faut savoir se perdre sur ses routes innombrables, dans ses villages abandonnés, dans ses fermes et ses étables, dans ses usines et ses ateliers, dans ses commerces qui respirent l’effort et le goût du travail bien fait. Dans ses hôpitaux, ses commissariats ou encore ses écoles, qui rappellent le sens des mots devoir et engagement.

« Faire de la politique au niveau où nous la pratiquons est un sacerdoce »

C’est là que l’on mesure véritablement les vies françaises. Parmi toutes ces Françaises et tous ces Français à qui j’ai voulu donner de la voix et rendre hommage, parmi tous ceux dont j’ai voulu raconter l’intimité et le quotidien, tous méritent d’être écoutés, lus, considérés. Il y a quelques jours, nous avons commémoré le triste anniversaire des dix ans des attentats islamistes de Paris et de Saint-Denis. J’ai voulu, à cette occasion, donner la parole à un policier de la BRI qui était intervenu ce soir-là au Bataclan. Il a accepté de me livrer les coulisses de cette intervention et, plus généralement, la détresse de nos policiers, en première ligne chaque jour contre l’ensauvagement de la Nation.

Entre ce que vous cherchez (le premier livre) et ce que veulent les Français (le second), est-ce qu’il y a un écart ? Lequel ?

Le moins possible, je l’espère. À dire vrai, venir d’un milieu modeste et avoir passé vingt ans au cœur d’une cité HLM de Seine-Saint-Denis m’a donné à voir une réalité, et m’a greffé un sentiment d’urgence qui ne m’a jamais quitté. Lorsqu’on évoque la violence, l’islamisation, la perte de l’identité, le sentiment d’être oublié, mais aussi les fins de mois difficiles, je me sens lié à tout cela. Je ressens ces inquiétudes que l’on entend chaque jour comme autant de souffrances personnelles, d’abord parce que je les ai moi-même vécues. Depuis plus de dix ans que je suis engagé en politique, au gré des campagnes électorales et des rencontres aux quatre coins du pays, je me suis toujours efforcé d’être le porte-voix des colères et des espoirs que j’entends.

Si on met de côté la politique, les micros et les plateaux, qui êtes-vous vraiment ?

Je suis le fils de Luisa, immigrée italienne qui, par amour de la France, a été naturalisée française, puis a choisi de mettre ses journées au service de notre pays en travaillant comme ATSEM dans les écoles maternelles de Saint-Denis, des années durant. Je suis aussi le fils d’Olivier, employé d’une petite entreprise de distributeurs automatiques de boissons.

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Bien que séparés dès mon plus jeune âge, tous deux m’ont élevé avec droiture et rigueur, veillant toujours à ce que je ne manque de rien. Je leur dois ce que je suis devenu aujourd’hui. Mon parcours ressemble à celui de millions de Français modestes. J’ai toujours aimé travailler – à l’école d’abord, en politique ensuite. Je viens d’en bas et je crois, modestement, être un pur produit de la méritocratie républicaine.

Vous avez embrassé la politique très jeune. Avec le recul, avez-vous parfois le sentiment d’être passé à côté de votre jeunesse ?

Malheureusement, je ne pourrais jamais vous répondre. On grandit très vite sur le champ de bataille. Faire de la politique au niveau où nous la pratiquons est un sacerdoce. Je ne regretterai jamais d’avoir eu de telles responsabilités si jeune, encore moins dans la période que traverse la France.

« La France ne bâtira jamais rien de grand dans la division sociale ou la lutte des classes »

La confiance que les Français placent en nous chaque jour est une charge qui nous oblige. Mon devoir, aujourd’hui, est de me préparer à exercer ces responsabilités et à y préparer mon mouvement. Celui de nos compatriotes sera, très bientôt, de choisir. Le temps presse.

Vous est-il déjà arrivé d’entrer dans une pièce, un dîner, une réunion, et de vous dire : « Qu’est-ce que je fais là ? » Plus largement, comment vivez-vous ce regard social parfois condescendant, celui qu’on réserve à ceux qui ne sont pas « passés par les bonnes écoles » ?

Pas tellement… En revanche, ne pas avoir fait les grandes écoles m’est souvent reproché, d’abord par mes opposants politiques, souvent dans une forme de mépris social maladroitement dissimulé. Certaines élites médiatiques et politiques considèrent que seuls leurs semblables sont légitimes pour émettre une idée, une pensée, une expertise. Qu’il faudrait habiter le Ve arrondissement de Paris pour écrire un livre, être énarque et avoir pantouflé au Sénat pour prétendre diriger le pays. Xavier Bertrand incarne tristement ce mépris aigri.

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Le dédain qu’il a exprimé à mon égard est en réalité celui qu’il porte à des millions de Français. Les gens ne supportent plus cela – surtout au regard du bilan de ceux qui ont gouverné depuis trente ans. Notre ambition, au contraire, est de réconcilier les Français, de recréer un intérêt national commun entre les classes populaires et moyennes, et une partie de l’élite entrepreneuriale. La France ne bâtira jamais rien de grand dans la division sociale ou la lutte des classes. Ce modèle est dépassé. Nous avons besoin d’unité.

Avez-vous parfois la tentation de tout couper : téléphone éteint, réseaux oubliés, monde mis à distance ?

J’en rêve plusieurs fois par jour (rire). Savoir éteindre son téléphone, couper, se rendre indisponible est une nécessité dans une époque saturée de bruit, où il n’y a jamais eu autant de connexions virtuelles… et autant de solitude réelle. J’aime autant cette époque que je la rejette. L’hyperconnexion est devenue un véritable problème de santé publique, notamment pour les jeunes, et elle affecte la manière dont des millions de gens appréhendent le réel – voire s’appréhendent eux-mêmes. Par ailleurs, j’aime la solitude. Elle est pour moi un refuge au cœur des tempêtes. À leur manière, l’écriture et la lecture sont des abris qui me permettent d’échapper, un peu, à la rudesse de la politique.

Quand vous êtes seul, vous arrive-t-il de parler à quelqu’un ? À Dieu, à un proche disparu ou à cette petite voix intérieure qu’on finit toujours par retrouver ?

Mes proches vous diraient que je suis de nature solitaire, et c’est assez vrai. Je ne me livre pas facilement, y compris dans la vie familiale ou amoureuse. Quant à Dieu, vous connaissez mon rapport à la foi : je me décris comme un agnostique, ami du christianisme.

La politique vous a-t-elle rendu plus difficile à aimer, ou simplement plus facile à admirer de loin ?

Ce qui est certain, c’est que la politique expose, use, pousse à se protéger – tout en imposant de ne jamais oublier ce qui fait que les Français vous considèrent encore comme l’un des leurs. Elle oblige aussi à donner le meilleur de soi-même, à être plus exigeant, plus engagé. Parfois, on a le sentiment de ne plus vraiment s’appartenir. Je ne cherche ni à être aimé ni à être admiré, je veux simplement être compris. Et cela reste, sans doute, la chose la plus difficile…

Avez-vous déjà eu envie de tout plaquer ? Soyez sincère : oui ou non ?

Non. Vous répondre que oui serait un peu inquiétant…

Qu’avez-vous définitivement sacrifié à la politique ?

Assumer des responsabilités en connaissance de cause interdit de se plaindre. Mais, à l’évidence, la politique à haut niveau revêt une dimension sacrificielle – d’abord pour la liberté personnelle et la vie privée. Du matin au soir, vous êtes scruté, disséqué. Le moindre de vos faits et gestes est commenté. C’est un poids psychologique qui exige du caractère et de la solidité.

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Les réseaux sociaux et l’apparition des chaînes d’information en continu ont profondément accéléré le temps politique : une actualité en chasse une autre. On est ainsi tenté de gouverner dans l’instant, plutôt que de gouverner pour l’histoire. C’est une erreur. La politique française doit renouer avec la vision et le temps long.

Avant un moment décisif, avez-vous un geste, un rituel, une phrase que vous vous répétez pour garder votre calme ?

Avant chaque moment important, je m’efforce de me rappeler combien le calme et la maîtrise de soi sont des vertus dans les tempêtes. C’est mon caractère, mon tempérament – même lorsque c’est difficile. Je repense souvent à cette phrase de Voltaire, découverte dans un livre d’André Malraux : « La sérénité dans la peine est le premier don du commandement. »

Si l’on met de côté la France et ses défis, de quoi avez-vous peur pour vous-même ?

Je mesure à quel point le désir de changement et la volonté de rupture sont forts dans le pays. Je connais les colères, les doutes, les espoirs. Ce livre en témoigne. Quand je parle avec un agriculteur au bord du gouffre, un artisan étouffé par les charges ou un policier découragé par le laxisme de certaines décisions de justice, je rentre souvent chez moi diminué, écrasé par l’émotion, la colère et surtout par le poids de la responsabilité. Ce que vivent les Français chaque jour impose l’humilité, mais surtout l’action. Ma plus grande crainte serait de les décevoir un jour. Je ferai tout pour que cela n’arrive pas.

La mort, y pensez-vous parfois ?

Je pense d’abord à la mort de mon pays. Comme tout patriote, l’idée que la France puisse disparaître – en tant que peuple, en tant que nation-civilisation, en tant que puissance mondiale – me hante profondément. Notre adversaire le plus redoutable, c’est le temps. Les dix années à venir détermineront, selon les choix que nous ferons, si la France conservera, par exemple, ses exploitations agricoles ou son industrie automobile.

J’ai toujours refusé de percevoir l’engagement politique comme le fait d’être le dépositaire de son propre destin

Les Français doivent comprendre que les décisions prises aujourd’hui engageront plusieurs décennies. Sur un plan plus personnel, j’entretiens un rapport particulier au temps. Je supporte mal de le voir passer. Peut-être parce que je dois accomplir à trente ans ce que l’on réalise normalement à cinquante.

Y a-t-il un lieu, quelque part, où vous retournez pour vous retrouver, vous recentrer, vous souvenir de l’essentiel ?

Sur les routes de mes origines, oui, bien sûr : l’Italie. La France et l’Italie sont deux sœurs, deux voisines liées par l’histoire et la géographie. C’est un pays que j’aime et qui m’accompagne depuis l’enfance. Là-bas, je retrouve un rythme plus lent, plus tranquille.

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J’essaie de m’y évader lorsque je le peux. Et puis j’ai beaucoup d’admiration pour Giorgia Meloni et Matteo Salvini. Meloni est une femme économiquement raisonnable, résolument patriote et déterminée à défendre l’intérêt de l’Italie d’abord. Elle a su s’imposer sur la scène européenne avec beaucoup de talent.

Si tout s’arrêtait demain, qu’est-ce qui vous ferait le plus mal ?

Il faut savoir raison garder. Personne n’est irremplaçable, et la nature a horreur du vide. J’ai toujours refusé de percevoir l’engagement politique comme le fait d’être le dépositaire de son propre destin. La politique est un mouvement comparable à de grands courants marins. La vague qui porte nos idées est puissante, je le crois. Ce vent de liberté, de fierté nationale et de patriotisme que nous incarnons en France souffle sur toutes les grandes démocraties occidentales. Les véritables sources de progrès et de prospérité pour notre pays se trouvent ici. Rien ne peut arrêter un peuple qui s’est remis à espérer – encore moins le peuple français.

Le jour où vous quitterez la politique, que rêvez-vous de faire, concrètement, le lendemain matin ?

Ce n’est pas prévu. Permettez-moi de songer d’abord à ce que nous ferons, le lendemain matin, quand Marine et moi aurons gagné les élections.

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