Une poignée de main historique sous les drapeaux : Donald Trump, artisan de la paix et de la force, s’impose une fois encore comme le faiseur de l’Histoire.
À Jérusalem, le président américain scelle la fin d’une ère de terreur et relance la diplomatie mondiale.
Trump à Jérusalem : la renaissance d’un leadership américain
Donald Trump est revenu au centre du jeu mondial. Ce lundi 13 octobre, le président américain a été accueilli en héros à Jérusalem, quelques heures après la libération des vingt derniers otages vivants détenus par le Hamas depuis le 7 octobre 2023. Tapis rouge, hymnes, ovations : l’Amérique triomphante retrouvait sa stature. Devant la Knesset, le Parlement israélien, Trump a prononcé un discours d’une intensité rare, célébrant « un nouveau commencement » pour le Proche-Orient.
Sous le regard ému de Benjamin Netanyahu, le président américain a salué
la fin d’une ère de terreur et de mort à Gaza.
Il a promis que le Hamas serait désarmé, que Gaza serait démilitarisée et qu’Israël ne serait plus jamais menacé. Des mots forts, portés par un ton d’autorité tranquille — loin, selon ses partisans, des hésitations diplomatiques européennes. Pour Trump,
ce n’est pas seulement la fin d’une guerre, c’est la fin d’une époque de peur.
L’Amérique, dit-il, a retrouvé sa mission : protéger la liberté par la force et la foi.
La fin de la terreur : un nouveau Moyen-Orient sous le signe de Dieu et de la paix
C’est un discours quasi biblique qu’a livré Donald Trump devant la Knesset.
Aujourd’hui, les sirènes se taisent, les fusils se taisent, et le soleil se lève sur une terre sacrée, a-t-il déclaré.
Pour lui, la paix au Proche-Orient ne sera pas le fruit des compromis fragiles mais de la victoire sur la terreur.
Israël a tenu, l’Amérique a agi, le Hamas a cédé : telle est la lecture d’un président qui assume l’idée de la « paix par la force ».
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu n’a pas caché son émotion :
Donald Trump est le plus grand ami qu’Israël ait jamais eu à la Maison Blanche, a-t-il martelé.
L’homme fort d’Israël, visé par plusieurs procédures judiciaires, a même reçu du président américain une proposition inattendue : une grâce présidentielle.
Les cigares et le champagne, franchement, qui s’en soucie ?, a ironisé Trump sous les applaudissements, allusion directe aux accusations de corruption qui visent Netanyahu.
Dans un Proche-Orient ravagé par la haine, Trump réinstalle la foi et la raison au cœur de la politique. Sa méthode ? Rompre avec la repentance occidentale et imposer le respect. En libérant les otages et en imposant un cessez-le-feu durable, il signe la victoire du courage sur le chaos, du réalisme sur la naïveté.
La diplomatie du courage : après Gaza, Trump vise la paix avec l’Iran et l’Ukraine
Jamais un président américain n’avait autant bousculé la carte du monde. Donald Trump n’entend pas s’arrêter à Gaza. Il a évoqué à Jérusalem la perspective d’un accord de paix avec l’Iran, pourtant frappé, quelques mois plus tôt, par les bombardements israéliens soutenus par Washington.
Ce serait formidable si nous pouvions conclure un accord avec eux. Ils sont fatigués, nous aussi, a-t-il lancé, fidèle à son pragmatisme brut.
Mais derrière la main tendue se cache la fermeté du stratège :
Nous sommes prêts à un accord, quand vous le serez, a-t-il averti Téhéran.
Pour Trump, la paix ne se quémande pas : elle s’impose par la dissuasion et la détermination.
Même ton à propos de l’Ukraine :
Tout le monde pensait que j’allais être brutal, mais quand on met fin à huit guerres, c’est qu’on aime la paix, a-t-il rappelé devant des élus israéliens debout, qui scandaient son nom.
Dans une époque de faiblesses européennes et de compromis sans fin, Donald Trump réaffirme l’Amérique du leadership, celle qui agit au lieu de commenter.
La diplomatie de la force, revendiquée comme une vertu, redonne au monde libre un cap clair : défendre la paix par la puissance, la liberté par la volonté, et la foi par l’action.
Donald Trump n’a pas seulement mis fin à la guerre à Gaza. Il a rétabli une hiérarchie morale. Celle qui place le courage au-dessus du calcul, la souveraineté au-dessus du compromis, et la vérité au-dessus du relativisme. À Jérusalem, il a incarné le retour du politique au sens noble du terme : un chef d’État qui décide, assume et agit.
Face à l’indécision des bureaucraties onusiennes, Trump impose le réel.
Face au nihilisme des fanatiques, il prêche la foi et la force.
Et face à la fatigue du monde occidental, il rallume la flamme du leadership américain.
La paix n’est jamais donnée. Elle se conquiert. Et ce 13 octobre 2025, à Jérusalem, un président l’a rappelé au monde entier.